Être doctorant en 1971

Visuel du podcast "50 ans de l'UA" - Sous-série : "Les débuts"
Les débuts (après 1971)
Être doctorant en 1971
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Au commencement, l’UA ne pouvait pas délivrer de diplôme de thèse. Les doctorants étaient pourtant présents sur Angers et y donnaient des cours. À l’image de Jean-Louis Ferrier, qui deviendra enseignant à l’IUT. Il revient sur la situation des premiers « thésards ».

Les premières co-tutelles de thèse

Visuel du podcast "50 ans de l'UA" - Sous-série : "Le développement"
Le développement
Les premières co-tutelles de thèse
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Au milieu des années 1990, l’Université d’Angers se fait peu à peu un nom dans le monde de la recherche et tisse des relations avec des scientifiques d’autres pays, notamment à travers les co-tutelles de thèse. Concrètement, cela veut dire qu’un·e doctorant·e est encadré par deux chercheur·e·s, l’un à Angers, l’autre dans son pays d’origine.
Professeur d’histoire contemporaine, Jacques Guy Petit a intégré l’UA en 1972. Et il a été un pionnier à Angers dans le domaine des co-tutelles.

Enseignant, puis étudiant…

Visuel du podcast "50 ans de l'UA" - Sous-série : "La vie à l'UA"
La vie à l'UA
Enseignant, puis étudiant…
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Il était enseignant, il est devenu thésard sous la direction d’un de ses anciens étudiants. C’est la drôle d’histoire de Paul Iogna-Prat, ancien enseignant de droit qui a été un des membres importants pour la création de l’université. Il raconte comment, à 62 ans, il a repris ses études et s’est lancé dans une thèse sous la direction d’Hervé Rihal.