Professeur d’histoire, Jacques Maillard se souvient du combat qui a précédé l’installation de la Faculté des lettres à Belle-Beille, marqué par l’opposition de certains Angevins, de l’Université catholique de l’Ouest et du Conseil général.
Après les premiers temps dans des préfabriqués, la question de la construction d’un véritable bâtiment pour l’ensemble Droit-Lettres est étudiée au milieu des années 1970. La nouvelle municipalité de Jean Monnier élue en 1977 penche pour le terrain du Haras, le Conseil général de Jean Sauvage n’en veut pas… Ex-enseignant de géographie, employé à la direction de l’urbanisme de la Ville d’Angers, Jean-Claude Denis se souvient des rebondissements politiques qui ont finalement mené à choisir le site de Belle-Beille.